Les années 2000 ont connu l’ascension fulgurante des médias sociaux avec aujourd’hui plus de 2.31 milliards de personnes actives sur les réseaux sociaux, soit 31% de la population mondiale.
Selon le dictionnaire de l’internaute, un réseau social est un site internet qui permet aux internautes de créer une page personnelle afin de partager et d’échanger des informations, des photos ou des vidéos avec des communautés d’amis et leur réseau de connaissances.
Ailleurs ils sont définis comme des sites internet et applications mobiles qui permettent aux utilisateurs de se constituer un réseau d’amis ou de relations, et qui favorisent des interactions sociales entre individus, groupes d’individus ou organisations.
Il se déduit de ces définitions que les réseaux sociaux jouent un rôle primordial dans la sociabilité. Ils favorisent donc des activités amicales ; familiales ou professionnelles facilitant la rencontre et l’échange.
Cependant ; le triste constat fait est que certains internautes ont galvaudé le sens premier les réseaux sociaux, les utilisant de façon abusive. Ils y publient tout et n’importe quoi. Ils publient parfois des images atroces, des photos immorales qui n’ont rien d’instructif ; ils y font constamment l’apologie du sexe et magnifient l’immoralité sexuelle. D’autres transforment les réseaux sociaux en une plateforme de règlement de compte avec des échanges discourtois, des propos orduriers, des manquements d’égard à l’autorité etc…
Pire des scènes de viols sont filmées et mises en ligne ; des images d’accidents tout en sang publiées sans avoir le réflexe humain de porter secours aux blessés. La légèreté vestimentaire est promue sur la toile avec même des photos dévoilant l’entière nudité. Il n’est pas rare d’assister à des scènes de profanation de tombeau, de lieu de culte ; ou des photos prises dans un cercueil et publiées rejetant ainsi toutes les limites de la décence et de la pudeur.
Ces constats désolants et inquiétants interpellent chacun et tous car les conséquences n’épargnent personne.
Vivement que nos nations légifèrent et que les promoteurs de médias sociaux mettent en place des systèmes de réglementation plus strictes et plus performantes soient installés afin les normes de standards de la communauté soient réellement respectées.
ONG FAITH